Bien que le poste d’ingénieur calcul crash garde le même intitulé quel que soit le secteur, l’expérience sur terrain révèle très vite la richesse ou la pauvreté du panel des missions liées au poste. Si c’est un secteur dans lequel vous voulez vous lancer, découvrez les précieux conseils de Sandrine, Ingénieure Calcul Crash chez Tohtem pour le secteur automobile.

 

Bonjour Sandrine ! Pourrais-tu te présenter en quelques mots ?

 

Femme Ingénieure Calcul Crash dans l'automobile
Sandrine, Ingénieure calcul crash dans l’automobile.

Je m’appelle Sandrine. Je suis chez Tohtem depuis octobre 2014 et je travaille en tant que prestataire ingénieure calcul crash pour automobile.

Que fais-tu concrètement en tant qu’ingénieur calcul crash dans l’automobile ?

Je valide des scénarios. Je peux, par exemple, travailler sur le choc latéral des véhicules électriques. L’objectif étant de vérifier que la batterie sous le plancher du véhicule ou que l’habitacle de l’espace intérieur n’est pas trop endommagé(e) en cas de choc.

Comment es-tu arrivée dans l’automobile ?

J’ai effectué mon dernier stage chez Renault et ai donc logiquement été sollicitée pour travailler dans l’automobile. Mais je trouve qu’au final, ayant aussi eu une courte expérience dans l’aéronautique, que l’automobile est assez varié.

 

 

Tu as eu un aperçu du secteur aéronautique. Pourquoi avoir choisi l’automobile ?

Honnêtement, je pense que, du fait de ma courte expérience et du retour d’expérience des personnes de mon réseau qui travaillent dans l’aéronautique, je préfère l’automobile, car c’est varié. Si jamais j’allais dans l’aéronautique, ce serait parce que c’est bien rémunéré. [Rires]

Si tu étais restée plus longtemps dans l’aéronautique, aurais-tu fais le même choix ?

Je ne peux pas trop m’avancer parce que je n’ai pas eu à pratiquer les deux secteurs à fond. J’ai de l’expérience dans l’automobile. Dans l’aéronautique je n’ai pratiqué que quatre mois, ce qui n’est pas énorme. Je base mon avis sur les expériences de mes amis qui font du calcul dans l’aéronautique.

Pourquoi ?

Il y a un petit peu de redondance. Et Dans le crash, il n’y a pas beaucoup d’activités. Ça ne doit pas être très varié.

En général, le crash est beaucoup plus reconnu dans le secteur automobile. La plupart du temps, avec l’avion quand il y a le crash, malheureusement, tout le monde meurt. On ne se pose pas de question pour savoir si la coque est encore bien. C’est plus au niveau des pannes moteur avec les oiseaux et tout ce qui peut rentrer dedans. Mais sur la structure même, non.

Par contre, dans l’automobile, on étudie les chocs frontaux, latéraux et de l’arrière. C’est assez varié et intéressant.

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